Le taux d’inoccupation varie toutefois selon le type de logement, a noté la SCHL dans son rapport. Moins de 1 % des logements offerts à moins de 1150 $, dans l’île de Montréal comme en banlieue, sont disponibles… Et ils représentent environ 60 % du parc locatif de la métropole.
À l’inverse, 5 % des logements dont le loyer est d’au moins 1675 $ sont inoccupés, ce qui inclut probablement une proportion élevée d’appartements locatifs récemment construits, a indiqué la SCHL.
C’est le centre-ville de Montréal qui remporte la palme de la plus grande proportion de logements inhabités.
M. Des Rosiers souligne que l’augmentation des coûts de matériaux de construction et de main-d’œuvre, notamment, accentue la hausse des prix dans le marché locatif neuf.
Ouais mais aussi toute la spéculation immobilière qui est menée par les agents immobiliers et les plus riches investisseurs qui possèdent des parcs entiers a un énorme rôle et on ne le mentionne jamais. Des Pauline Cauchefer et des Henri Zavriyev qui ne font juste ça et flipper des blocs au complet.
« Il faut être conscient qu’il faut trouver des solutions pour les gammes de loyers plus faibles, qui restent beaucoup plus tendues », croit M. Cortellino.
No shit. Construire des tours de luxe comme Maestria n’aide aucunement non plus.
Les locataires qui ont changé d’appartement ont également été beaucoup plus sujets à une importante hausse de loyer (18,7 %) que ceux qui ont renouvelé leur bail (4,7 %), a constaté la SCHL.
Ça non plus c’est pas juste. Les baux locatifs devraient continuer de suivre les indices suggérés par le TAL. Par contre je serais d’avis que les augmentations pour des frais de rénovations ou de réparation ou pour remplacer des électroménagers soit étendu sur 10 ans plutôt que 30 ou peu importe la durée en ce moment.