• Ziggurat@sh.itjust.works
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    18 days ago

    Depuis qu’on est passé en Flex-desk, j’ai l’impression que ça a rajouté 5 minutes à mon commute.

    Avant j’arrivais au bureau, je prenais le PC dans le tiroir, je le branchais à la docking et puis voilà.

    Maintenant, je dois aller à mon casier, prendre Souris, PC, bloc-note, avant de m’installer à ma place (qui en général est libre exception may occur) et faire pareil à la fin. Pas sur du gain pour mon employeur de rajouter du temps non productif et de l’incitation à télétravailler

    • PeutMieuxFaire@jlai.lu
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      17 days ago

      Même chose dans l’entreprise qui m’emploie. Et comme nous avons horreur du changement mes collègues et moi tournons chacun-e entre 2-3 bureaux maximum, tous situés à 1m50 de l’autre :)

      Et comme il manque quelques bureaux pour absorber l’affluence des jours « de pointe » il faut se mettre une alarme la semaine avant pour penser à réserver la semaine suivante. Si on oublie c’est le jeu des chaises musicales et on se retrouve exilé quelques cloisons plus loin ou - pire - à la place « juste à côté » MAIS située au milieu du passage avec écran visible à toutes les personnes qui passent par là.

      Aussi, on ne peut pas réserver plus de 2 semaines à l’avance d’ailleurs sinon ce n’est pas drôle quand on prend plus d’une semaine de congés.

      Mais enfin au final je remercie mon employeur pour cette mesure qui me permet de passer quelques minutes chaque jour à faire quelques pas de plus, papoter avec mes collègues, régler l’écran à la bonne hauteur, etc. Dire qu’avant je les passais à répondre à des courriels ennuyeux, c’est bien mieux maintenant…

    • Sravoryk@jlai.lu
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      18 days ago

      Ça fait pas envie, qu’est-ce qui a motivé le Flex-Desk ? Si c’est le fait de faire des rotations avec des personnes en télé-travail sans agrandir les locaux, autant accorder le tt 100%, non ?

      • Ziggurat@sh.itjust.works
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        18 days ago

        Tu as mis le doigt sur le problème, place dans les locaux. Et aujourd’hui la politique TT c’est minimum un jours de TT et 2 jours de présentiel (pour les gens rattaché au siège, évidemment les gens qui ont recrutés proche des clients genre ventes/maintenance et qui changent de fonctions sont pas priés de déménager) donc oui une partie du management est pas fan du télétravail, depuis la fin du covid c’est contractualisé car sinon c’est impossible de recruter, et qu’une partie du top management voit aussi le prix du m^2 de bureaux.

        Mon poste actuel est pas 100% télétravailable, car je passe beaucoup de temps en zone de test, il y a même des fois où j’atteins pas les minimum contractuel de TT, mais en effet pour pas mal de taches le 100% TT marcherait aussi bien

        • Sravoryk@jlai.lu
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          18 days ago

          Je crois que je saisi la difficulté, mais cet entre deux des managers me paraît difficile à justifier. Au minimum, pour les postes qui ne sont pas 100% TT un bureau fixe c’est toujours ça de confort.

          Il me semble avoir vu des postes sur le flex-desk juste après les confinements. Ça ne me paraissait pas idéal, parce que les témoignages expliquait de devoir faire le tour des bureau et, éventuellement, ne pas en trouver. À titre personnel, ce serait une bonne raison de repartir à la maison, pas d’espace de travail, pas de travail…

    • leftascenter@jlai.lu
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      18 days ago

      Le temps perdu et la perte de productivité ne sont pas comptabilisés, seuls les économies de mètres carré le sont, vive la comptabilité

      • PeutMieuxFaire@jlai.lu
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        16 days ago

        Tout à fait. J’ai mis des années à comprendre ça. Seulement ce qui est facilement mesurable, mettable en chiffres / en tableaux est pris en compte. D’où, je suppose, la manie des « métriques ». Et si l’indicateur devient l’objectif ça part dans le surréalisme, cf les chiffres du chômage en période d’élections ?

        D’un autre côté, ce qui est difficilement / pas mesurable est considéré comme sans importance. C’est le sophisme quantitatif.

        Je devrais peut-être me recycler dans la sociologie ou l’ethnologie d’entreprise, c’est inépuisable.